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Mon Partenaire Fictif (Ebook) Édition française

Mon Partenaire Fictif (Ebook) Édition française

série Pas de Rival pour l'Amour

⭐⭐⭐⭐⭐ 322+ avis cinq étoiles

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Ces ennemis deviennent amis, deviennent amants dans une fausse relation, c'est une comédie romantique qui est hilarante !

Juliette est à un semestre de son job de rêve – si elle réussit son algèbre à l'université. Troy, un beau petit ami à louer, est prêt à lui donner des cours particuliers si elle se fait passer pour sa fausse petite amie afin de dissuader un client collant. Alors que la frontière entre fantasme et réalité s'estompe, leurs cœurs survivront-ils aux conséquences d'une fausse relation avec un ami-ennemi ?

Tropes principaux

✅ les ennemis-amis deviennent amants

✅ fausse relation

✅ triangle amoureux

✅ romance universitaire

SYNOPSIS

Une étudiante en littérature désespérée de réussir son cours d'algèbre. Un petit-ami à louer qui cherche à décourager une cliente trop collante. Une fausse relation pourrait-elle aider ces deux faux-amis à atteindre leurs objectifs ?

Juliette Dubois est à un semestre de son stage de rêve dans un lycée d'arts privé — si elle parvient à réussir son cours d'algèbre. Troy, le meilleur ami agaçant mais séduisant de sa colocataire, est prêt à l'aider, mais le prix pourrait être trop élevé pour sa fierté.

Le stage non rémunéré tant convoité de Troy dans un prestigieux cabinet d'architecture à Los Angeles rend impossible pour lui d'avoir un emploi régulier. C'est pourquoi son activité secondaire de petit-ami à louer est parfaite — du moins jusqu'à ce qu'une de ses clientes décide qu'elle est amoureuse de lui. Désespéré de paraître en couple, Troy supplie Juliette de prétendre être sa petite amie.

Paniquée par sa note catastrophique en maths, Juliette accepte d'aider Troy en échange de séances de tutorat privées. Mais alors que la frontière entre fantaisie et réalité devient floue, Juliette doit faire face à la jalousie grandissante de sa colocataire — et à ses propres sentiments grandissants pour Troy. Son cœur pourra-t-il survivre aux conséquences d'une fausse relation avec un faux-ami ?

Cette romance contemporaine peut être lue indépendamment et garantit une fin heureuse. Elle offre des dialogues piquants, des personnages complexes et des scènes hilarantes. Si vous adorez les romances basées sur de fausses relations, vous allez adorer Mon Faux Match. Procurez-vous votre exemplaire dès aujourd'hui !

REGARDEZ À L'INTÉRIEUR

CHAPITRE UN

Juliette fixait le syllabus du cours, les mots déroutants et les termes incohérents dansant devant ses yeux. Des expressions comme équations quadratiques et expressions rationnelles.

Pourquoi avait-elle repoussé l'algèbre universitaire jusqu'à son tout dernier semestre avant son stage d'enseignement ?

À l'avant de la salle, le professeur parlait sans interruption, son accent d'Europe de l'Est bien prononcé mettant à l'épreuve les limites de sa concentration. Venait-il de dire matrices ? Ce mot suffisait à lui donner des sueurs froides.

Voilà pourquoi elle avait repoussé l'algèbre universitaire — cette frustration nauséabonde qui la faisait prier pour une douce libération par la mort. Bon, d'accord, peut-être pas la mort. C'était sans doute un peu dramatique. Mais pourquoi devait-elle suivre ce cours d'algèbre, de toute façon ? Juliette allait devenir professeure de littérature au lycée, pas comptable. Les comptables utilisaient-ils des équations linéaires, ou quoi que ce soit dont parlait le professeur ? Elle n'en était pas vraiment sûre.

Son esprit vagabonda vers le livre qu'elle lisait — une romance frissonnante où un prince feignait d'être fiancé à une roturière pour satisfaire la presse. Le couple était si parfait l'un pour l'autre, mais les frontières entre réalité et fantasme se brouillaient constamment et le héros comme l'héroïne craignaient d'avouer leurs véritables sentiments.

Peut-être que si elle sortait sa tablette, elle pourrait lire les derniers chapitres sous prétexte de prendre des notes.

— Votre note sera composée de cinquante pour cent des examens, trente pour cent des contrôles, et vingt pour cent des devoirs, annonça le Professeur Horvat.

Juliette cligna des yeux, se concentrant à nouveau sur le syllabus et essayant de chasser le livre de son esprit. Elle devait réussir ce cours — le seul qui l'inquiétait sérieusement ce semestre. Si elle échouait, elle ne pourrait pas faire son stage d'enseignement le semestre suivant ni obtenir son diplôme. Elle perdrait également sa bourse, ainsi que le stage qu'elle avait prévu pour l'automne prochain dans un prestigieux lycée privé qui mettait fortement l'accent sur les arts libéraux. Non seulement ce stage remplissait son obligation de formation pratique, mais il offrait un demi-salaire et lui donnait un accès privilégié auprès du proviseur si un poste se libérait.

Échouer ce cours n'était pas une option.

— Nous allons directement entrer dans le vif du sujet, dit le Professeur Horvat. Commençons par revoir l'algèbre de base pour nous assurer que nous sommes tous sur la même page, puis au prochain cours, nous aborderons les graphiques.

Juliette retint à peine un soupir. Il semblait que même un jour de répit ne serait pas accordé aux prisonniers. Le professeur avait l'intention de commencer la torture immédiatement.

Il décapuchonna un marqueur, l'odeur chimique âcre se propageant jusqu'à Juliette, assise au premier rang. D'habitude, elle adorait cette odeur. Aujourd'hui, elle la détestait. Les émanations lui donnaient déjà une migraine terrible. Ou peut-être était-ce à cause des équations que le Professeur Horvat inscrivait méticuleusement sur le tableau blanc.

Dix minutes plus tard, malgré ses meilleures tentatives de concentration, elle était déjà irrémédiablement perdue. Le défilé interminable de chiffres dansait devant ses yeux irrités.

Les héroïnes de romans d'amour n'avaient jamais à affronter ce genre de torture. Juliette dévorait plus d'une centaine de livres par an, et elle n'avait jamais lu un seul roman où un personnage devait s'inquiéter de quelque chose d'aussi banal que les mathématiques — sauf si c'était en relation directe avec l'argent, dont ces héroïnes semblaient toujours avoir en abondance.

Elle était totalement jalouse de ces héroïnes en ce moment. Elles partaient toujours pour des aventures incroyables avec des beaux gosses à tomber par terre, et elles le faisaient sans jamais utiliser une seule expression rationnelle. D'ailleurs, utilisait-on une expression rationnelle, ou la résolvait-on ? Juliette était presque certaine qu'elle ne le découvrirait jamais, et elle s'en fichait un peu.

Sauf qu'elle ne s'en fichait pas, du moins un peu. Parce qu'elle tenait à ce stage, ce qui signifiait qu'elle devait réussir ce cours.

Au moment où le Professeur Horvat les libéra pour la journée, Juliette pouvait déjà sentir la tension se former en un nœud derrière une omoplate. Son sac à dos faisait souffrir cet endroit tandis qu'elle traversait le campus en direction de sa résidence. Des fleurs d'un blanc éclatant et rose s'accrochaient aux arbres bordant les trottoirs, le vert des feuilles perçant à peine à travers les fleurs. Le soleil chaud de la fin du printemps brillait vivement au-dessus d'elle, et Juliette pouvait entendre le chaos de la circulation californienne au loin. Mais le campus semblait enveloppé dans un calme qui ne semblait présent que pendant le semestre d'été, moins peuplé.

Pourquoi la vie ne pouvait-elle pas être comme un roman d'amour ? Juliette ne dirait pas non à un beau gosse qui la balayerait de ses pieds. Au lieu de cela, elle devait supporter Troy, le meilleur ami agaçant de sa colocataire, qui semblait considérer leur cuisine comme son buffet personnel à volonté.

Au moins, il était agréable à regarder, même s'il la rendait folle plus souvent qu'à son tour.

L'ascenseur de son immeuble était en panne depuis près d'un an, alors Juliette gravit péniblement les trois étages jusqu'à son palier. Elle ouvrit la porte de l'appartement et laissa tomber son sac à dos sur le sol. Avec un soupir dramatique, elle s'affala sur le canapé.

Ce n'était que le premier jour des cours, et elle se sentait déjà plus stressée qu'elle ne l'avait jamais été pendant les examens de mi-semestre.

— C'est toi, Juliette ? appela Erica depuis leur chambre commune.

Juliette faillit demander Qui d'autre cela pourrait-il être ? mais se retint. Elle savait qui d'autre cela pourrait être — Troy. À ce stade, Erica lui avait probablement déjà donné une clé de l'appartement.

Juliette et Erica s'étaient rencontrées l'année dernière dans l'un de leurs cours de développement de l'enfant — Erica étudiait également pour devenir enseignante au secondaire, bien que sa matière fût l'éducation physique et la santé. Elles étaient rapidement devenues amies, et lorsque la colocataire d'Erica s'était mariée pendant les vacances de Noël, Juliette avait repris son contrat et avait emménagé avec gratitude. L'appartement était exigu et démodé, mais grâce au logement universitaire, il était également abordable. La minuscule cuisine et la salle de bain privée semblaient un luxe après avoir passé trois ans dans les dortoirs.

Ce n'est qu'au moment du déménagement que Juliette avait réalisé que Troy et Erica formaient en quelque sorte un duo indissociable. Ils étaient amis depuis qu'ils étaient en couches, et les deux étaient inséparables.

— Ouais, c'est moi, dit Juliette. Tu as terminé tes cours pour aujourd'hui ?

Il ne fallut que deux pas à Erica pour traverser du seuil de la chambre jusqu'au salon. Elle portait un legging de sport moulant mi-mollet et un débardeur dos nageur. Ses cheveux blonds étaient attachés en queue de cheval, et une fine couche de sueur couvrait son front. Elle revenait probablement d'une course à pied.

— J'ai fini à 14 heures tous les jours ce semestre, dit Erica.

— Sympa, dit Juliette. Je termine à 15 heures.

Erica prit une bouteille d'eau dans le frigo, dévissant le bouchon. — Ce devrait être un semestre assez facile, alors. Je n'arrive pas à croire que nous commençons notre stage d'enseignement dans quatre mois.

Quatre mois. D'un côté, Juliette savait que le temps passerait vite. Mais de l'autre, elle avait le sentiment que chaque minute passée en cours d'algèbre serait une éternité. — Un semestre facile pour toi, peut-être. Ce sera un miracle si je réussis ce cours de maths.

Un bref coup retentit à la porte, puis elle s'ouvrit sans attendre de réponse.

Troy entra dans la pièce comme s'il en était le propriétaire, faisant instantanément monter la température de dix degrés. Il était grand et mince, mais pas dégingandé — parfois, quand son t-shirt s'étirait sur sa poitrine d'une certaine façon, Juliette pouvait voir la définition des muscles en dessous. Ses cheveux noirs étaient coupés courts sur les côtés et un peu plus longs sur le dessus, et ces yeux verts...

Juliette déglutit difficilement, ouvrant la fermeture éclair de son sac à dos. Vraiment, il n'y avait aucune justice en ce monde. Ce n'était pas juste qu'une telle épine dans son pied soit aussi incroyablement séduisant.

— Bonjour, mesdames, dit Troy avec un sourire à faire fondre les genoux. Les fossettes qui apparaissaient sur ses deux joues quand il souriait faisaient battre son cœur à chaque fois.

Il se dirigea vers le réfrigérateur et l'ouvrit, fouillant dans son contenu. Qu'est-ce qui rendait les garçons universitaires constamment affamés ?

— Encore à court de nourriture, Troy ? lança Juliette. Tu sais, ils ont cette merveilleuse invention appelée supermarché qui peut t'aider avec ça.

— Oui, mais la caissière là-bas ne me gratifie jamais de remarques sarcastiques. Troy ferma le frigo, un sac de pain avec Erica écrit au marqueur noir sur le dessus dans une main et un sourire narquois sur les lèvres. Il vivait dans la résidence de l'autre côté de la rue — un dortoir sans installations de cuisine. Les loyers en Californie étaient fous, surtout près du campus, alors beaucoup d'étudiants des années supérieures vivaient encore comme des premières années pour économiser de l'argent. — Je peux me faire des toasts, Erica ?

— Bien sûr, dit-elle avec désinvolture. Fais-m'en une tranche aussi. Tu en veux, Jules ?

Juliette imagina Troy mangeant le toast, des miettes accrochées à ses lèvres pleines. Elle avala difficilement, se forçant à lui adresser un sourire faussement doux. S'il savait à quel point elle était attirée par lui...

— Non, merci, répondit Juliette avec un sourire en coin. Soudainement, j'ai perdu l'appétit.

Troy s'appuya contre le comptoir, les bras croisés sur sa poitrine. Il fallait faire beaucoup d'efforts pour ne pas le fixer. — Parfait — je prendrai ta part, alors. J'ai un rendez-vous dans trente minutes pour l'anniversaire de mariage des grands-parents de quelqu'un, et la nourriture est vraiment aléatoire dans ce genre d'événements.

Ah, oui. L'entreprise ridiculement absurde de Troy.

— Tu ne sors toujours qu'avec des filles qui te paient ? demanda Juliette.

Troy sourit. — Toujours.

Petit-ami à louer. Juliette ne savait même pas que c'était un métier jusqu'à ce qu'elle rencontre Troy. C'était l'une des choses qui la rendait folle chez lui. Quel genre de personne laissait des femmes le payer pour sortir avec lui ? Il ne semblait certainement jamais manquer de clientes.

— Tu veux du beurre sur ton toast ? demanda Erica à Troy. Elle avait déjà mis deux tranches dans le grille-pain et le regardait avec expectative.

— Bien sûr, dit Troy, se tournant pour prendre le beurrier dans le placard. Était-ce un nouveau jean ? Il épousait son corps aux bons endroits, asséchant la bouche de Juliette.

Juliette se leva, attrapant son sac à dos et le hissant sur une épaule, faisant souffrir le nœud qui s'y était formé. — Je crois que je vais aller à la bibliothèque, puisqu'il est évident que je ne pourrai pas étudier ici maintenant.

Troy leva une main pour la saluer. — Toujours un plaisir, Jules.

Juliette lui tira la langue, faisant rire Troy.

Elle ferma fermement la porte de l'appartement derrière elle, luttant contre un sourire. C'était mal de laisser Troy la provoquer comme ça. Mais il y avait quelque chose chez lui qui la rendait délicieusement folle.

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Ordre de lecture des séries

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SÉRIE PAS DE RIVAL POUR L'AMOUR

1. Mademoiselle Cupidon

2. Pas Fait Pour Toi

3. Mélange et Assortiment

4. Assortis par Design

5. Trouve-moi si tu peux

6. Un partenaire pour Noël

7. Jamais Dire Match

8. Recommence avec Moi

9. La Méprise du Match

10. Mon Partenaire Fictif

11. Le Baiser du Gui

12. Faire Jaillir l'Étincelle

13. Trouvez Votre Égal

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